Une rencontre imprévu [ PV Aldébaran Peterson]

Il était déjà si tard? L'horloge de la classe d'histoire indiquait 20:35. À son habitude le blanchâtre avait fait ses cours où personne ne l'écoutait et personnellement, il s'en fichait. Il enseignait une matière qu'il appréciait et tant pis pour ceux qui ne voulait rien apprendre. Il ne les forcerait pas bien que cela serait plutôt drôle pour lui de le faire. Évidemment, ce serait simple, quelques petites menaces, des exécutions de celles-ci pour des personne coulant leurs examens et le tour était joué. Tous réussiraient leur examen haut la main car la peur fait des miracle quelques fois. Enfin bon, il se convaincu de ne pas faire ça mais ces petites pensées le faisait sourire.

Quand les cours étaient terminés, il avait prit les examens et les avaient corrigés. Etsukazu n'aimait pas le travail en retard, cela l'énervait au plus au point. Alors il donnait les examens et les corrigeait presque aussitôt. Il termina tout ça dans les environs de 17:45. Ensuite, cet homme travaillait sur les cours et les examens prochains. On ne pouvait guère dire qu'il n'était pas passionné par son travail. Il aurait continuer encore mais son Kudan était venu lui avertir que c'était l'heure de manger et que celui-ci finirait son boulot chez lui.

C'était devenu une routine du Lundi de terminé tard jusqu'à ce qu'Ivan, affamé, vienne l'avertir de l'heure qu'il ignorait chaque fois ne la regardant jamais. Il rangea alors tranquillement ses affaires et quitta sa classe.

Il était content aujourd'hui car aucun être non-humain était venu harceler aujourd'hui. Il n'avait guère vu de fantômes ou si oui, ceux-ci ne leur avaient pas parlé de la journée. C'était rare que ça arrivait avec le nombre de morts dans cette ville et de rêves qui ne se sont jamais réalisés, les esprits hantent les autres tout en essayant de trouvé leur but pour atteindre le repos éternel.

L'homme aux yeux grisâtres longeait le couloir du premier étage se demandant si d'autres personnes pouvait être là à cette heure. Ce ne fut pas long qu'il découvrit qu'effectivement, il n'était pas seul dans l'école lorsqu'il vit une ombres s'approcher. Il put facilement distinguer des cheveux roux et très longs ainsi que des yeux bleu ciel qui rayonnait presque dans l’obscurité, n'ayant que le lumière qui restait toujours allumer la nuit quoi qu'il arrive....

Etsukazu vit que cette ombre c'était un homme et que celui-ci avait l'air captivé par quelque chose que même Etsu ne voyait pas ou peut-être qu'il se remémorait des souvenir ou explorait seulement l'école. Le blanchâtre regardait son Kudan tout en soupirant car celui-ci quémandait à l'avance son gros plat qu'il aimerait avoir. Comme c'était original qu'il lui demande un tel chose.... comme à tout les Lundis si non les autres jours de la semaine aussi. Il lui dit à l'aide de la penser qu'il attendra qu'ils reviennent à la maison avant de penser à cela.

Soudainement, lorsque l'homme aux yeux grisâtres se retourna, il était trop tard. Le jeune roux avait heurté Etsukazu et celui-ci avait tombé mais il atterrit sur ses pieds en un mouvement fluides de ses mains. Il allait informer ''l'agresseur'' de son mécontentement mais se tut lorsqu'il le regarda. Celui-ci avait l'air surprit et troubler et se durant quelques minutes. Il le dévisagea tandis qu' Etsukazu essayait de canaliser sa colère qui, depuis qu'il le regardait, montait en lui.

L'homme qui avait l'allure d'avoir le même âge qu'Etsu se ressaisissa et prit la parole :

"Veuillez m'excuser mais j'ai cru un instant à une apparition divine dont j'ai du mal à me remettre.... Me permettez vous de quémander le nom de cette douce apparition ?"

Etsu n'en croyait pas ses yeux. Qu'est-ce qu'était cette apparition divine? Il se retourna pour voir s'il n'y avait pas d'autre personne. Réalisant que peut-être était-ce lui, il décida de lui répondre après que son Kudan ait traiter se roux de fou:

'' si cette apparition divine dont vous parler est moi, permettez-moi de vous dire que tout d'abord je ne suis ni doux ni divin. Je me nomme Okamoto, Etsukazu Okamoto et je suis le professeur d'histoire. Et vous, qui êtes-vous?''

Il se permit de dire tout cela sous un ton sec et froid en croisant les bras.

Aldébaran se sentait un peu honteux de l'avoir ainsi dévisagé. Mais pour lui c'était à peine croyable de voir que l'homme qui l'accompagnait dans le futur n'était autre que la personne en face de lui. Le jeune homme en question avait l'air plutôt .... décontenancé par les propos du roux. D'ailleurs ce dernier se retourna pour chercher derrière lui quelques chose. Aussitôt Al en conclu qu'il avait dû mal s'exprimer, ce qui l'étonna puisqu'il avait vécu ici un long moment donc il parlait couramment la langue ce malgré son petit accent natale.

'' Si cette apparition divine dont vous parler est moi, permettez-moi de vous dire que tout d'abord je ne suis ni doux ni divin. Je me nomme Okamoto, Etsukazu Okamoto et je suis le professeur d'histoire. Et vous, qui êtes-vous?''

Lorsque l'argenté ouvrit la bouche pour répondre, Aldébaran ne pu retenir un long sourire de bonheur. Le son de sa voix était tout simplement comme une multitude d'oiseaux chanteurs venu jusqu'à son oreille pour parler , certes, de banalités mais en le faisant de manière à le rendre plus gracieux. Son regard ce fit plus doux et charmeur à son attention.

"Quel son mélodieux... Vous avez une voix magnifique ... Et d'une beauté sans pareille, petite fleur..... Mais je m'égare, je me présente, Aldébaran Peterson de la maison Everglène. Que puis-je faire pour que vous m'octroyer un peu de votre temps ici même ?"

Son coeur était remplit de bonheur comme si en un instant tout le mal du monde avait disparu et que rien ni personne ne pouvait entacher cette joie intense. Il hésita un instant mais la tentation était trop forte pour retenir cette pulsion. Lentement, sa main vint caresser une mèche de cheveux argenté avant de la sentir et d'activer son pouvoir de "passe-muraille", dès fois que le jeune homme n'apprécie pas et tente de le gifler.

"Vous êtes une fleur exquise tan au niveau du parfum que de la beauté.... "

Le roux qui était un peu plus grand qu'Etsukazu avait un léger accent Britannique se qui lui donnait une indice de ou il était né.

"Quel son mélodieux... Vous avez une voix magnifique ... Et d'une beauté sans pareille, petite fleur..... Mais je m'égare, je me présente, Aldébaran Peterson de la maison Everglène. Que puis-je faire pour que vous m'octroyez un peu de votre temps ici même ?"

Quel bouffon avait-il devant lui en ce moment? '' un voix magnifique?'' , '' Un beauté sans pareil?'' et la goutte d'eau c'est qu'il l'avait tout bonnement traiter de petite fleur comme si lui, Etsukazu, était un être fragile qui pouvait être cassé facilement par le vent. Il fronçait subitement les sourcils. Celui-ci détestait être comparer à quelque chose de fragile ou doux car il ne l'était pas. Peterson, son nom lui disait quelque chose et il avait l'impression de l'avoir déjà vu quelque part mais ne pouvait dire où. Probablement dans les couloirs ou entre-croisé une fraction de seconde en travaillant le soir ou bien il aurait lu son dossier ou le nom y serait marquer. Ah si, il avait fouiller dans le bureau du directeur et discrètement, il avait lu les fiche du personnel et le nom de Peterson y était. Il donnait quelques informations sur lui mais se qu'il s'interessa le plus c'était son pouvoir, le passe-muraille, le don de pouvoir passer aux travers d'objets,d'humain, de murs, etc.

Encore là, Il décida de lui spécifié qu'il n'était pas une fleur. Il le regardait dans les yeux quand il sentis en lui une chaleur monter, une haine grandir juste par un simple regard. Le roux avait le sourire aux lèvres et son aura de joie se sentait même à l’extérieur de son corps tandis que l'aura d'Etsukazu était le complet opposé. Lorsque l'homme aux yeux bleus lui prit une mèche, le plus petit ne put s'empêcher de le frapper au visage par simple pulsion. Malheureusement pour lui, il ne frappa rien. L'homme vint rajouter un phrase:

"Vous êtes une fleur exquise tan au niveau du parfum que de la beauté.... "

Et l'argenté répondit:

'' Vous, vous êtes comme un esprit, aussi désagréable et si l'on veux vous frapper, on ne peut pas, on frappe dans le vide.''

Cette personnalité de franc homme qu'Aldébaran lui faisait paraître quelqu'un de difficilement manipulable. Quelqu'un dont l'esprit était fort et qui malheureusement ne lâcherait certainement pas ses convictions. Cette personne, par cette personnalité qui avait l'air si insistante, serait donc pire qu'un esprit qui le harcèle? Oui, si seulement il y avait un remède contre les harceleurs autres que le poivre de caillène.

Etsukazu le regarda attentivement pendant quelques secondes: De longs cheveux roux où ceux-ci était faiblement tenu par un bandeau sur son front. Des accoutrements qui laissait les bras dénudés où l'on pouvait remarquer les muscles du plus grand.

Le roux attira l'attention du blanchâtre en s'exprimant:

"Mais je n'en suis point un. Voulez vous vraiment me frapper ? Si c'est de votre douce main, je me laisse volontiers frapper ici même !"

Celui-ci prit sa main et la mit sur sa joue tandis qu'Etsukazu le regardait avec étonnement. Tout d'abord, il se demandait évidemment comment ses réflexes on put diminuer à en être presque poussière. Cela prit une bonne minute pour lui avant de réagir, mais en clignant des yeux, le roux était devenu plus près de lui se qui surprit encore plus le jeune homme. Le regard du blanc se croisa avec celui de l'homme aux yeux bleus et après une dizaine de secondes, sa main partit suivit à un bref sourire sadique.

Il le gifla sans hésitation et disons que cela lui avait fait un grand plaisir qu'il garda au fond de soit sans pour autant le montrer. Il regarda encore le plus grand dans les yeux voulant percé se qu'il avait derrière la tête.

'' Etsukazu, Il est pas bien ce type c'est un fou. Hmmm.... J'ai faim, on rentre?'' Dit Ivan, son Kudan qui regardait Aldébaran et Etsukazu.

Par la pensé, Le blanchâtre lui répondit qu'il préférait observer le comportement du jeune roux de plus près. Bien que celui-ci l'énervait au plus au point et que, par son simple regard, il avait des envies de meurtre, il n'avait jamais observer un déchet qui était amoureux enfin, pas de lui. Il ne croyait pas que c'était possible et cela, démontrait bien la faiblesse de Peterson.

Le son de cette gifle retentissait dans tout le corridor silencieux. Etsukazu fut surprit de la ténacité de Peterson lorsque celui-ci le gifla, sans bouger, l'avait reçu de plein fouet. Ce qui agaçait un peu la plus petit c'est que l'homme aux yeux bleuâtres avait sourit suite à cette claque. Serait-il légèrement masochiste? Ou était-il heureux de pouvoir repartir à zéro avec Okamoto.
Quelques secondes plus tard, le roux s'inclina devant la blanchâtre qui, bien que cela ne parut pas, était assez surprit.

« Veuillez m’excuser encore de vous avoir poussé dans vos retranchements, et veuillez me pardonner d’avance pour les prochaine fois à venir »

Il resta surprit par cette phrase.... '' Les prochaines fois à venir''? Ça il en doutait. Il n'était pas du genre à se laisser toucher, enlacer facilement. Les contactes outre ceux lorsqu'on combat quelqu'un, le répugnait. Il n'était pas d'une nature social.... Il ne pourrait pas passé une année entière avec quelqu'un sans vouloir mettre fin au jour de celui-ci sauf si cette fameuse personne aurait une pensé commune à la sienne et même encore, avec cette façon de pensé qu'il a. cela provoquerait plutôt des bagarres en même temps d'un respect mutuel pendant ces attaques. Bref. Etsukazu fit signe de la tête pour démontrer qu'il lui pardonnait malgré l'affront qu'il lui a fait et les ''belles paroles'' que ce roux lui avait dites.

Une boule de feux vint lorsque Peterson avait siffler et celle-ci s'avérait être une sorte de chouette.

« Ma foie si vous ne voulez point discuter avec ma personne cette nuitée, je m’en vais de ce pas finir ma ronde. Passez, ma jolie rose, une bonne nuit. »

Etsukazu soupira, cette phrase lui avait coupé l'envie de continuer cette discussion. Il se retourna pour être de dos au roux et marcha quelques pas avant de lui faire un bref au revoir de la main par simple politesse, pensant qu'il souhaiterais le pas le revoir.

Etsukazu marchait et voyait que son interlocuteur partait dans le sens opposé. Il était donc ravie. Cet être était étrange, celui-ci avait quelque chose d'unique en son genre qui intéressait Etsukazu bien qu'il ne savait pas encore se qu'était cette fameuse chose.

'' Tu penses encore à ça? Pourtant, ça ne te ressemble pas.'' dit don Kudan tandis que son ventre grognait il avait faim.

'' En effet, Mais il a quelque chose avec lui... N'as-tu rien remarqué?''

'' Non, tu dois te faire des idées.''

Non, Etsulazu ne se faisait jamais d'idées, mais cette personne était étrange et le blanchâtre avait l'envie de le trancher en deux à chaque secondes qu'y passait et se,de façon beaucoup plus intense. Pourtant, bien que la nature de ses propos étaient pour le moins douteuses surtout avec ces '' Petite fleur'', ''belle rose'' ou '' joli créature'' , ceux-ci devraient passés dix pieds au dessus de la tête d'Etsukazu mais ce ne fut le cas. Pourquoi le détestait-il tant? Cela resta un mystère pour lui.

Il s'arrêta net suivit de quelques pas Ivan. Etsukazu tendait l'oreille très attentivement, à l'affut du moindre sons étrange. Celui-ci se sentait suivit et se depuis un moment, il pressa le pas pour ne plus être à la vue de son poursuiveur et se cacha lui même un peu plus loin. Cette sensation d'être fixé l'avait mis à l’affût et son instinct ne se trompait presque jamais. il essayait de voir qui le pourchasait en silence.

Bien sûre que ça ne se faisait pas de suivre les gens comme ça mais il avait tellement envie de rester avec lui, de le découvrir et en apprendre plus sur son amour.... Oui il était déjà amoureux transit de cet homme qu'il ne connaissait ni d'Adam ni d’Ève mais pour qui son cœur battait ardemment, pour qui à l'instant même ou il avait poser les yeux sur lui, des milliers d'étoiles éclatèrent dans ses yeux, pour qui le son de sa voix le transportait à milles lieux de là.... Bon le suivre n'était pas la meilleur des solutions, il le savait mais que pouvait il faire pour passer plus de temps avec lui s'il était pressé de partir ? Rien, à part jouer au stalker ... Ca ne l'enchantait pas, il avait même des remords à faire ça mais son envie était trop forte pour lui résister.

Etsukazu semblait avoir pressé le pas car sans s'en apercevoir Aldébaran ne l'avait plus en vu, trop concentré par ses rêveries autour de l'argenté, de sa bouche attirante, de ses lèvres fines, de ses yeux sauvages... Trop concentré à ce dire mentalement les qualités de chaque parti du corps du professeur. Mais bon ce n'étais pas bien grave il le retrouverait en continuant son chemin. D'ailleurs il allait prendre un petit raccourcis en traversant la salle en diagonal, il le retrouverait plus vite ainsi. Mais c'était sans compter sur Etsukazu qui ce cachait dans un coin.... Quel ne fut pas sa surprise quand il le traversa de part en part.... Gêné d'être ainsi démasqué il ne trouva rien de mieux que se gratter la tête en regardant ailleurs.

"Je suis désolé .... Veuillez m'excuser de cet incident"

Il essaya de s'éclipser discrètement mais c'était trop tard....

Son instinct ne se trompa pas, celui-ci était toujours fidèle et savais, par l'habitude surement, s'il y avait un quelconque danger. Mais qui le suivait? Il en avait déduit que c'était probablement son interlocuteur qu'y venait de lui parler. En même temps que son esprit soit concentré sur ce suiveur, Etsukazu pensait à ce nom qui lui inspirait tant de haine sans qu'il n'arrive à savoir pourquoi.

Soudain, une chaleur inconnu se fit dans son corps sans qu'il n'ait put voir se que c'était. Le membre du personnel avec qui il parlait un peu plus tôt apparue devant lui. Comme il l'avait deviner un peu plus tôt, c'était bien lui qui le suivait. Il ne put s'empêcher hausser un sourcil et de croiser les bras tandis que Peterson, gêner, qui se grattait la tête et détournait le regard. Ce suivit d'un désolé.

'' Ah! Bien, t'avais raison en fin de compte'' Dit Ivan .

Okamoto était content de ne pas s'être trompé et esquissa un sourire avant de le faire disparaître et de demander au roux:

- Pourquoi vous me suiviez?

Cette personne était terriblement étrange. Qui s'amuserait à suivre quelqu'un dans une école? Un imbécile ou un assassin et disons que Peterson n'avait pas l'allure de vouloir le tuer par surprise. Lui sauté dessus ça ne l'aurait pas étonner, mais une tentative de meurtre, non, ça il s'en doutait. Bien que mettre en confiance les gens pour mieux les manipuler et mettre fin à leur jours ensuite, Etsukazu connaissait bien ça et pouvait très bien se tromper sur le compte du roux. Cette penser le fit froncer légèrement les sourcils tandis qu'il attendait la réponse de l'anglais. Il avait pratiquement oublier la règle de base '' Ne faire confiance à personne''. Comme cette petite règle enfreinte par les autres avaient causés leur morts. Il s'ennuyait quelques fois de ce temps, de ce sang coulant sur ses mains, de ces implorations qui, malheureusement pour eux, ne marchait jamais. Aldébaran semblait le fixer intansément mais celui-ci se ressaisit un peu plus tard répondant enfin à la question:

"Ah heu.... c'est que.... j'avais envie de passer plus de temps avec vous.... "

'' Et vous pensez réellement que c'est une bonne manière de passer plus de temps? ''

Et passer du temps avec autruit était de l'espionner? Etsukazu trouvait ça bien suspect mais n'en témoigna pas. Il le regarda, la fixa, essayant de réussir à le percé pour avoir une moindre piste sur ses intentions car, même dans un havre de paix, on est jamais trop prudent surtout si un ex-assassin était apte à entrer ici et qu'une personne louche le suit.

Le roux prit la parole subitement.
"Que diriez vous d'un diner ce soir même avec moi ?"

Quelque chose cloche avec cet être. Pourquoi agit-il ainsi? Si c'est une tactick, elle est très voyante. Il le fixait presque méchamment avant de répondre sèchemment.

''Malheureusement, je ne peux pas diner avec vous''

Un grondement se fit entendre. C'était le ventre de Ivan qui criait.

Le roux devait probablement penser que c'était son ventre qui crait mais malheureusement Etsukazu n'avait pas très faim.

'' J'ai faim! Tu accepte ou on rentre mais dépêches-toi sinon je vais aller chercher quelque chose par moi-même. ''

Les interminables plaintes faites par Ivan commençait à l'énerver. Il lui avait dit mentalement qu'il était grand et fort et qu'il pouvait très bien aller se trouver quelques choses seul. Celui-ci partit après un redoutable ''bien''. Son kudan s'en allait tandis que Etsukazu ne le retenait pas et resta à observer l'anglais. Ces disputes étaient fréquentes alors Okamoto ne s’inquiétait pas qu'il allait revenir ensuite, dans les petites heures du matin car '' monsieur est orgueilleux'' et part bouder dans un parc à chaque fois.

"Un repas, c'est moi qui invite. Vous pouvez prendre tout ce que vous voulez"

L'insistance du plus grand plut au blanchâtre. De plus, il avait penser ces dernières minutes qu'il pourrait en apprendre plus sur lui et surtout sur ses intentions qui étaient surement malsaines. Il voulait vraiment le percé et cela paraissait dans son regard intense.

"Juste un repas pour ce soir...."

Après un long soupire, un poussa ce mot:

'' D'accord. ''

Il partit en direction de l'extérieur.